Transformons ensemble l'inconfort des questions existentielles en émerveillement.

Se poser des questions existentielles n’est pas un signe de fragilité mentale ou de folie. Je dirai même que c’est souvent le signe d’une "intelligence" supérieur, d'un esprit en quête de sens, d’une personne qui refuse la superficialité et cherche à comprendre sa place dans le monde.

Penser profondément, s’interroger sur sa vie, ses choix, ses valeurs, fait partie intégrante du votre chemin de vie — et les plus grands penseurs et artistes plongeaient au cœur de ce qu'on leur disait d'ignorer. 

Les grandes questions ne sont pas à craindre. Elles vous orientent vers plus d’authenticité et de clarté.

Il est cependant important de différencier la vraie souffrance psychologique, qui demande un accompagnement, de cette forme normale et saine de questionnement qui nous pousse à grandir.

Il est plus douloureux de rester prisonnier d’une vie qui ne nous ressemble pas que de plonger dans l’inconnu. Votre curiosité est instinctive. Ne la refoulez pas.

Autorisez votre esprit à divaguer . . .

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